« Il y avait là de quoi occuper un homme », notait Ernest Will en 1987 dans un article nécrologique paru dans la revue Syria. Mais à Palmyre, même Robert Amy participa à d’autres travaux, notamment à la restauration du Triple Arc et à l’étude de l’hypogée de Yarhai et de la tour d’Elahbel en collaboration avec Henri Seyrig.


Ailleurs, ses fonctions officielles d’architecte à la disposition du haut-commissariat l’amenèrent à s’occuper de la remise en état des monuments les plus divers et de toute époque dans l’ensemble de la Syrie et du Liban, églises chrétiennes de Syrie du Nord et monuments musulmans d’Alep, de Damas et autres lieux.

Mais il consacra sa recherche personnelle de préférence aux temples de l’époque impériale romaine. Ainsi, il procéda au relevé du curieux temple de Dmeir près de Damas et à l’examen de toute une série de temples de Syrie du sud, Atil, Sanamein, Slem et autres, qui lui fournirent la matière de l’important mémoire sur les temples à escaliers paru dans Syria (n°27, 1950).